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dimanche 21 mars 2010
dimanche 31 mai 2009
samedi 28 février 2009
mercredi 21 janvier 2009
lenteur administrative aggassante
nous condamnons l'indifference et l'insouciance de l'administration locale de la Wilaya de Tlemcen et surtout celle de la Direction de l'Action Sociale vis à vis de nos adhérents bénificiaires de l'Allocation des handicapés qui attendent depuis six mois le virement de leur pension mensuelle de 4000.00DA trés insuffisante; pourtant chaque année il rencontrent le même problème de la lenteur administrative pourtant six mois c'est trop long pour régulariser ce dossier.
On vient trés respectueusement demander à Monsieur le DAS de remédir à ce problème le plus tôt possible vu que parmis les bénificiaires il existe des handicapés moteurs démunis et qui ont la charge d'une famille.
On vient trés respectueusement demander à Monsieur le DAS de remédir à ce problème le plus tôt possible vu que parmis les bénificiaires il existe des handicapés moteurs démunis et qui ont la charge d'une famille.
samedi 20 décembre 2008
El Watan 30/11/2008 Promesses non tenues de Ould Abbas
Revalorisation des pensions des handicapés
Les promesses non tenues de Ould Abbas
La charité institutionnalisée semble inopérante. Des couches entières de la société élèvent la voix pour dénoncer leur lamentable quotidien. Des voix sans voie qui sont perdues dans le magma de ce pays à l’avenir incertain.
Le désespoir est profond. Il touche l’ensemble du petit peuple, condamné « par contumace » à une misère chronique. Il est aussi présent chez les handicapés, nombreux aujourd’hui à être livrés à eux-mêmes. Sans aucune prise en charge digne de ce nom. Cette frange vulnérable, traitée avec beaucoup d’égards et d’attentions dans d’autres pays, se retrouve seule dans l’arène d’un pays où, déjà, les personnes qui ont toutes leurs facultés physiques et mentales peinent à faire face à la dureté de la vie. Les cris de détresse n’ont jamais cessé. Les promesses des gouvernants non plus. Mais ce ne sont que des engagements en trompe-l’œil. Concrètement, rien n’a changé pour les handicapés qui pataugent toujours dans les mêmes difficultés. Hamza Bougara, président de l’association Ettahadi des handicapés moteurs, affirme porter les mêmes revendications que celles exprimées au lendemain de la création de cette association, en 2003. Il s’agit, entre autres, de revaloriser leur pension, de faciliter leur accès au travail, aux soins et au logement. De leur fournir le matériel spécifique et de leur garantir leur droit à l’éducation. Les doléances de cette association et de bien d’autres auprès des responsables à différents niveaux hiérarchiques demeurent sans suite. Intervenant en ouverture de la conférence-débat organisée hier au centre de presse d’El Moudjahid à l’occasion de la Journée internationale des handicapés, célébrée le 3 décembre de chaque année, M. Bougara a insisté sur la pension qui, en plus d’être insuffisante, n’est pas versée mensuellement de manière régulière.
Il a rappelé dans ce contexte la promesse non tenue du ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbas, qui s’était engagé en 2005 à ramener cette pension à 6000 DA dès le début de l’année 2006. Mais en 2006, affirme M. Bougara, la pension était toujours de 3000 DA. « Ce n’est que vers la fin 2007 qu’elle a été ramenée à 4000 DA par mois », a précisé M. Bougara, affirmant qu’avec une telle somme, le handicapé ne pouvait même pas manger à sa faim. Pour Toufik Bouzid, porte-parole de l’association, le ministre de la Solidarité fait de la politique et reste peu sensibilisé aux problèmes des handicapés qui sont nombreux, à travers le pays, à souffrir le martyre, dépourvus de leurs droits les plus élémentaires. Pour permettre à cette frange sociale de vivre dans la dignité, l’association Ettahadi demande une pension égale au salaire national minimum garanti (SNMG), à savoir 12 000 DA. « Avec une telle somme, le handicapé pourrait au moins subvenir à ses besoins les plus importants », souligne-t-il. Concernant le transport, M. Bougara a relevé que beaucoup d’enfants handicapés moteurs sont condamnés à l’inactivité faute de pouvoir se déplacer et de prise en charge. Aussi, il a évoqué le problème des familles qui ont plusieurs handicapés à charge. Lesquelles familles croulent sous les problèmes et les situations désespérées qu’elles ont à affronter. Sans aucune aide de l’Etat. Ainsi, des milliers de handicapés vivent dans le dénuement alors que l’Etat consacre des milliards au « secteur » de la solidarité nationale. Rien qu’à Alger, on recense plus de 40 000 handicapés.
Par M. A. O.
Les promesses non tenues de Ould Abbas
La charité institutionnalisée semble inopérante. Des couches entières de la société élèvent la voix pour dénoncer leur lamentable quotidien. Des voix sans voie qui sont perdues dans le magma de ce pays à l’avenir incertain.
Le désespoir est profond. Il touche l’ensemble du petit peuple, condamné « par contumace » à une misère chronique. Il est aussi présent chez les handicapés, nombreux aujourd’hui à être livrés à eux-mêmes. Sans aucune prise en charge digne de ce nom. Cette frange vulnérable, traitée avec beaucoup d’égards et d’attentions dans d’autres pays, se retrouve seule dans l’arène d’un pays où, déjà, les personnes qui ont toutes leurs facultés physiques et mentales peinent à faire face à la dureté de la vie. Les cris de détresse n’ont jamais cessé. Les promesses des gouvernants non plus. Mais ce ne sont que des engagements en trompe-l’œil. Concrètement, rien n’a changé pour les handicapés qui pataugent toujours dans les mêmes difficultés. Hamza Bougara, président de l’association Ettahadi des handicapés moteurs, affirme porter les mêmes revendications que celles exprimées au lendemain de la création de cette association, en 2003. Il s’agit, entre autres, de revaloriser leur pension, de faciliter leur accès au travail, aux soins et au logement. De leur fournir le matériel spécifique et de leur garantir leur droit à l’éducation. Les doléances de cette association et de bien d’autres auprès des responsables à différents niveaux hiérarchiques demeurent sans suite. Intervenant en ouverture de la conférence-débat organisée hier au centre de presse d’El Moudjahid à l’occasion de la Journée internationale des handicapés, célébrée le 3 décembre de chaque année, M. Bougara a insisté sur la pension qui, en plus d’être insuffisante, n’est pas versée mensuellement de manière régulière.
Il a rappelé dans ce contexte la promesse non tenue du ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbas, qui s’était engagé en 2005 à ramener cette pension à 6000 DA dès le début de l’année 2006. Mais en 2006, affirme M. Bougara, la pension était toujours de 3000 DA. « Ce n’est que vers la fin 2007 qu’elle a été ramenée à 4000 DA par mois », a précisé M. Bougara, affirmant qu’avec une telle somme, le handicapé ne pouvait même pas manger à sa faim. Pour Toufik Bouzid, porte-parole de l’association, le ministre de la Solidarité fait de la politique et reste peu sensibilisé aux problèmes des handicapés qui sont nombreux, à travers le pays, à souffrir le martyre, dépourvus de leurs droits les plus élémentaires. Pour permettre à cette frange sociale de vivre dans la dignité, l’association Ettahadi demande une pension égale au salaire national minimum garanti (SNMG), à savoir 12 000 DA. « Avec une telle somme, le handicapé pourrait au moins subvenir à ses besoins les plus importants », souligne-t-il. Concernant le transport, M. Bougara a relevé que beaucoup d’enfants handicapés moteurs sont condamnés à l’inactivité faute de pouvoir se déplacer et de prise en charge. Aussi, il a évoqué le problème des familles qui ont plusieurs handicapés à charge. Lesquelles familles croulent sous les problèmes et les situations désespérées qu’elles ont à affronter. Sans aucune aide de l’Etat. Ainsi, des milliers de handicapés vivent dans le dénuement alors que l’Etat consacre des milliards au « secteur » de la solidarité nationale. Rien qu’à Alger, on recense plus de 40 000 handicapés.
Par M. A. O.
dimanche 30 novembre 2008
une pension décente pour les handicapés
liberté online
Par :Rubrique Radar Lu : (269 fois) (Lundi 13 Octobre 2008)
Loi de finances 2009 : non-voyants et handicapés moteurs
Des députés exigent une pension décente
Les députés du RND de Tizi Ouzou se sont insurgés, lors des débats consacrés à la loi de finances 2009, à l’APN, contre les allocations octroyées pour les non-voyants et les handicapés moteurs, qui s’élèvent à 1 000 dinars/mois pour la première catégorie et à 4 000 dinars/mois pour la seconde. Ces parlementaires ont interpellé les ministères concernés à revoir à la hausse cette pension sachant que les personnes recensées dans ces deux catégories sont considérées comme invalides et sans ressources financières particulières. Dans le même sillage, ces parlementaires ont appelé le gouvernement à établir un fichier national sur les aides sociales afin de parer aux fraudes, d’une part, et de faire bénéficier les véritables nécessiteux, d’autre part. La même doléance a également été formulée à l’égard du ministère de l’Habitat afin d’assainir les fichiers de l’AADL, des OPGI, des EPLF ainsi que ceux des autres formules, en l’occurrence le LSP (logement social participatif, et social).
Par :Rubrique Radar Lu : (269 fois) (Lundi 13 Octobre 2008)
Loi de finances 2009 : non-voyants et handicapés moteurs
Des députés exigent une pension décente
Les députés du RND de Tizi Ouzou se sont insurgés, lors des débats consacrés à la loi de finances 2009, à l’APN, contre les allocations octroyées pour les non-voyants et les handicapés moteurs, qui s’élèvent à 1 000 dinars/mois pour la première catégorie et à 4 000 dinars/mois pour la seconde. Ces parlementaires ont interpellé les ministères concernés à revoir à la hausse cette pension sachant que les personnes recensées dans ces deux catégories sont considérées comme invalides et sans ressources financières particulières. Dans le même sillage, ces parlementaires ont appelé le gouvernement à établir un fichier national sur les aides sociales afin de parer aux fraudes, d’une part, et de faire bénéficier les véritables nécessiteux, d’autre part. La même doléance a également été formulée à l’égard du ministère de l’Habitat afin d’assainir les fichiers de l’AADL, des OPGI, des EPLF ainsi que ceux des autres formules, en l’occurrence le LSP (logement social participatif, et social).
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